Je savais pas dans quoi le mettre !!
Édition du vendredi 12 octobre 2007
Ma femme s'appelle... DavidÀ la Jonelière, l'un va rarement sans l'autre. Olivier Thomas et David de Freitas sont devenus inséparables, pour le meilleur et le pire...À quand remonte votre amitié ? Olivier Thomas. Au 24 juin 2007, dans un restaurant américain. Une date qui marque. Le lendemain, nous reprenions l'entraînement.
David de Freitas. Un resto avec deux grandes oreilles, devenu notre préféré.Nous étions en résidence hôtelière, il était seul, j'étais seul et nous ne savions cuisiner ni l'un ni l'autre. On est donc allé ensemble au resto puis à l'entraînement. Tout ça s'est fait doucement.
Comment expliquez ce rapprochement ? O. T. Déjà, nous sommes très heureux de jouer pour Nantes. Ensuite, nous avons la même conception de notre métier. On bosse mais avec le sourire. Ce n'est pas parce que l'on fait « la gueule » que l'on travaille mieux ! Enfin, nous avons le même humour. Du style, ranger les pacs d'eau dans les casiers. Des conneries, des blagues de gamin pour mettre de l'humour dans le vestiaire...
D. d. F. On s'est rendu compte effectivement que nous avions les mêmes délires comme le site
Tête à claques qu'il m'a fait connaître, la même façon de voir les choses, les mêmes sujets de conversation. Ce n'est pas un mec compliqué.
Par le passé, avez-vous déjà connu relation aussi forte ? O. T. Oui, j'ai eu quelques autres coups de foudre avec Gérald Baticle et David Linarès que j'ai rencontrés à Troyes. Ces personnes m'ont marqué mais c'était différent. Là, on se côtoie en dehors, on vient dans la même voiture à l'entraînement.
D. d F. Comme il ne veut pas payer d'essence, je suis obligé de prendre la mienne à chaque fois ! Généralement, je vais vers tout le monde. Il n'y en a pas eu beaucoup pour autant. À vrai dire, un seul : Gaël Danic, qui évolue à Troyes, match que je vais louper. Ça me fait ch...
Quasiment un petit couple ? O. T. Presque. Nos femmes le vivent encore bien. Reste à savoir pour combien de temps... On se rend service mutuellement. On sait pertinemment que l'on peut compter sur l'autre, n'importe quand. On en rajoute même. L'autre jour, nous sommes allés à la déchèterie ensemble.
D. d F. En fait,Olivier a un petit 4x4, il n'arrive pas à mettre plus de deux cartons dans sa voiture.
Vous vivez toujours à l'hôtel ? O. T. Non, nous avons pris chacun une maison avec notre famille respective mais on s'est arrangé pour être dans le même village. En voiture, deux minutes tout au plus. On a poussé le vice à avoir deux enfants du même âge (un et trois ans).
D. d F. Pour rétablir la vérité, c'est lui qui a trouvé une maison à 500m de la mienne comme il ne voulait pas trop s'éloigner.
Les épouses vont s'entendre ? O. T. C'est bien parti.
D. d F. Ça leur permet de ne pas se sentir seules. Nous, on se voit tous les jours mais on pense rarement aux femmes. J'ai deux filles, je vais essayer d'en caser une avec les siens comme il a de l'argent... Pour l'autre, j'ai pensé à Fred Da Rocha...
Votre complicité représente t-elle un plus pour le terrain ? O. T. Je pense. Nous avons un groupe qui vit très bien, mais peut-être que tous les deux on a encore plus envie de s'aider mutuellement. Maintenant, je ne trouve pas qu'il me fasse suffisamment de passes mais on va en parler à la maison...
D. d F. Faux ! De toute façon, c'est normal puisqu'il a un peu les pieds carrés ! Puis, ce n'est pas facile de jouer vers l'avant en remettant le ballon derrière. Plus sérieusement, cette complicité nous a permis de trouver des automatismes rapidement. Sur certains trucs, un regard suffit pour savoir ce que l'autre attend. C'est mignon, non ?
Trop des comiks tous les 2 !! Ptdr David qui veut casé ses filles alala trop comik
http://www.nantes.maville.com/Ma-femme-s-appelle...-David/re/fcna_entretiens/actu_11490-453426-----_actu.html <== L'interview ! J'aime bien la photo